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Escale du livre 2010 SOPHIE POIRIER Mon père n’est pas mort à Venise rencontre & dédicace dimanche 11 avril
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Rencontre et dédicace avec SOPHIE POIRIER Dimanche 11 avril - après-midi Escale du livre / quartier Ste Croix, TnBA, conservatoire >>> SON DERNIER OUVRAGE : Auteur : Sophie Poirier Titre : Mon père n’est pas mort à Venise Ana éditions 14 x 21 cm, 100 pages Prix : 12.00 euros Marianne découvre parmi les archives de son père un étrange carnet. Il contient des pages entières d’avis de recherche découpés dans des journaux. Avec ces filles perdues qu’il faut bien retrouver, cela devient aussi l’histoire de Marc, le détective engagé par Marianne. Et puis il y a les pères, partout. Comme des ombres inquiétantes. Ces pères qui ont traversé 68 et qui n’ont transmis à leurs enfants, pour se défendre, qu’un certain goût pour la liberté... Avec le carnet trouvé chez son père, Marianne se trouve en possession d’une collection morbide d’avis de recherche. Ont disparu un jour Carine, Cécile, Sylvie, Géraldine, etc. Perturbée par cette découverte, par cette question insidieuse : " Mon père est-il un assassin ? ", elle engage Marc, détective privé banal et divorcé, pour établir une vérité. En interrogeant ainsi le passé, et la place du père dans nos vies, tous les deux font un chemin particulier vers l’absence, le besoin d’amour et l’héritage paternel. Au delà du romanesque de l’intrigue, il s’agit d’une réflexion sur les liens familiaux, et surtout ceux qui nous lient au père. L’auteur raconte comment tout à coup elle a réalisé qu’autour d’elle il n’y avait plus beaucoup de pères solides, comme une génération qui s’enfuit. Cette histoire se lira aussi comme les premières questions posées par une enfant à cette génération d’adultes qui, après s’être abandonnée aux libertés, abandonne à tout va... >>> DU MÊME AUTEUR : Auteur : Sophie Poirier Titre : La libraire a aimé Ana éditions 14 x 21 cm , 72 pages Prix : 9.50 euros C’est un livre qui dit que l’important c’est d’être vivant, l’histoire d’un petit bout de soi, soudainement réveillé, qui refuse de reprendre sa place d’avant. Tous les jours à 19h30, deux libraires, Paul et Corinne, prennent un whisky à la terrasse du même café. Ils parlent de livres puis chacun repart de son côté. Un soir, Paul ne vient pas, Il ne viendra plus jamais. Sophie Poirier a inventé Corinne, la libraire à la vie bien réglée, face à la désertion de Paul.
Elle nous raconte comment cette femme, dont la vie n’est faite que de livres et d’un rendez-vous rituel, se mêlera de la vie et des autres pour devenir vivante. Nous croiserons un photographe amateur de cadavres, Paul Auster et sa femme, un oncle faussement russe et son nain fidèle, une vieille Anglaise collectionneuse d’objets cassés, un peu New-York, un peu la mer, un peu le Sud... La libraire a aimé est un livre qui nous interroge sur notre capacité à savoir vivre le présent et à l’apprécier. C’est l’histoire d’un petit bout de soi, soudainement réveillé, qui refuse de reprendre sa place d’avant. Tout comme Corinne, Sophie Poirier a surtout voyagé dans les livres, jusqu’à ce que le hasard lui fasse croiser Paul Auster dans une rue de Brooklyn. De cette vision est née une interrogation, qu’elle nous fait ici partager : qui est le plus fort, de la vie ou des livres, pour fabriquer des histoires ?
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